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Expliquer le point d’ébullition de l’eau et combien de temps cela prendra.

Expliquer le point d’ébullition de l’eau et combien de temps cela prendra.

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Pour la plupart des gens, les régimes de beauté et de soins ont radicalement changé pendant la pandémie, mais pour certains membres de la communauté LGBTQ – et en particulier les personnes transgenres – les tendances en matière de cheveux naturels et sans maquillage ont parfois semblé moins libératrices et plus restrictives.

"Je n’avais même pas réalisé à quel point il était important pour moi que mes cheveux aient une certaine apparence, jusqu’à ce que je ne puisse plus les faire couper pendant très longtemps", explique Evan Greer , qui est transgenre et non binaire. .

Kate Mason, professeure adjointe de sociologie et d’études sur les femmes et le genre au Wheaton College, ajoute : « Je connais beaucoup de personnes qui se présentent comme des lesbiennes ou des personnes non binaires ou transmasculines, au début de la pandémie. , beaucoup de gens étaient vraiment paniqués à l’idée de ne pas pouvoir se faire couper les cheveux."

Certains membres de la communauté LGBTQ sont déjà aux prises avec la dysphorie de genre – une détresse psychologique entre le sexe de naissance d’une personne et son identité de genre – et les apparences peuvent faire la différence.

"(Dans la communauté queer), la présentation du genre est un peu différente, c’est-à-dire qu’elle est moins motivée par les normes sociales dominantes en matière de féminité que par la question : "Comment puis-je me présenter d’une manière qui reflète mon identité de genre, mon orientation sexuelle ou mon identité sexuelle ?". les deux ?’", dit Mason.

Pour le consultant en organisation Van Bailey , son incapacité à exprimer son genre est choquante. Il est trans-masculin et queer.

"Une partie de mes moyens de lutter contre la dysphorie réside dans la capacité de contrôler mon corps", explique Bailey , 37 ans. "Ce que cela signifie pour moi, c’est la capacité de sortir dans le monde et de m’habiller comme je veux m’habiller ou, même dans un sens, w-loss-website.com me crée un espace."

Il y a un équilibre entre ressentir le besoin de se présenter d’une certaine manière, ont déclaré plusieurs membres de la communauté LGBTQ à USA TODAY, et trouver du réconfort en ne faisant pas autant d’efforts de style.

"D’un côté, certaines personnes pourraient vivre cela comme une opportunité de se détendre et de se sentir plus à l’aise dans leur corps, mais pour d’autres personnes, le manque d’accès à différents types de stylistes peut causer beaucoup d’inconfort", a déclaré Mason. dit.

Pourtant, elle a découvert que ses cheveux hirsutes sont l’une des rares choses qui la rendent dysphorique.

Mason dit également que, de manière anecdotique, « les masques ont vraiment entamé la présentation du genre de plusieurs femmes queer de haut niveau dans mes cercles, qui ont dû faire preuve de créativité faute de pouvoir faire preuve d’audace lorsqu’elles sortaient. "

À propos du rouge à lèvres : Les masques nous amènent-ils à dire adieu au cosmétique ?

Greer, pour sa part, aime que son masque recouvre la partie de son visage qui montre parfois des restes de poils sur le visage – sans compter qu’elle porte plusieurs masques transgenres de la Pride.

Pour les appels Zoom, Greer enfile des boucles d’oreilles pendantes et porte des lunettes pour communiquer son genre et son style. Elle utilise également son espace physique pour raconter l’histoire de qui elle est, avec une affiche de Marsha P. Johnson en arrière-plan. Johnson, une femme transgenre noire, est souvent considérée comme la personne qui a lancé la première brique ou le premier verre à shot pour déclencher les émeutes de Stonewall en 1969.

Rebecca Dooley, 25 ans, de Richmond, en Virginie, dit qu’elle a publiquement déclaré son homosexualité en août et qu’elle était reconnaissante de pouvoir jouer avec son style sans examen minutieux.

"Je ne pensais pas que mon style féminin correspondait totalement à mon identité, mais la pandémie m’a aidée à expérimenter dans l’intimité de ma propre maison", dit-elle. "J’aime toujours les jolis cerceaux et les fards à paupières scintillants, mais je suis aussi devenu beaucoup plus à l’aise dans ma peau et je porte une chemise et des baskets pour hommes… et je les possède."

Instagram s’est avéré une aubaine pour les personnes à la recherche d’inspiration stylistique pendant la pandémie. "Beaucoup de gens montrent leurs coupes de cheveux faites maison ou découvrent comment coiffer leurs cheveux longs", explique Mason. Elle a fait référence à l’un de ces comptes, @butchhairquarantine .

"Les gens qui avaient les cheveux courts avaient l’impression que si leurs cheveux commençaient à pousser, les gens allaient mal les genrer et ils ressentiraient de la dysphorie", ajoute-t-elle.

Bailey dit qu’il a investi plus de temps dans sa routine quotidienne de soins de la peau, qu’il se sentait généralement pressé de faire chaque matin, et qu’il a recherché des exemples auprès d’autres personnes queer et transgenres. Certains comptes qu’il apprécie sont @dapperq , @plussizetransguy et @menofsize ; il s’empresse de remarquer qu’il y a moins de visibilité pour les personnes trans-masculines et qu’il a également du mal à trouver plus de personnes de couleur.

Greer note qu’Internet est une arme à double tranchant, mais les personnes trans du monde entier veulent apporter leur soutien – que ce soit par le biais de didacticiels vidéo sur la coiffure et le maquillage ou en trouvant un soutien professionnel sous forme de conseil ou de thérapie.

Dans l’ensemble, Bailey se sent désormais plus ancré.

"Je me connecte à mon corps d’une manière très différente", dit-il.

Contributeur : Alia E. Dastagir

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Pouvez-vous boire trop d’eau ?

Comme pour la plupart des choses, il existe un risque de boire trop d’eau. Une bonne règle de base des professionnels de la santé pour déterminer les niveaux d’hydratation est d’observer la couleur de votre urine :

  • Brun clair, jaune foncé : Déshydraté
  • Jaune pâle, ressemble à de la limonade : Hydraté
  • Clair : surhydraté

Bien que ce ne soit pas aussi courant chez la personne moyenne, les athlètes d’endurance tels que les cyclistes et les triathlètes sont plus susceptibles de souffrir d’une hydratation excessive. Cependant, il est important d’évaluer votre niveau d’hydratation et d’ajuster votre consommation d’eau en conséquence, car une surhydratation peut entraîner une intoxication hydrique.

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Quand faut-il boire de l’eau ?

Il est recommandé d’intégrer une consommation d’eau constante dans l’alimentation d’une personne moyenne. Pour suivre votre objectif quotidien, la Clinique Mayo recommande de boire de l’eau :

  • Pendant et entre les repas
  • Avant, pendant et après l’exercice
  • Chaque fois que tu as soif

Juste curieux d’en savoir plus ? Nous avons ce qu’il vous faut

USA TODAY explore les questions que vous et d’autres posez chaque jour. De « Comment supprimer le papier peint ? » à "Est-ce que les coccinelles mordent ?" à "Quel genre de chien est Scooby Doo ?", nous nous efforçons de trouver des réponses aux questions les plus courantes que vous posez chaque jour. Rendez-vous dans notre section Juste Curieux pour voir ce que nous pouvons répondre d’autre pour vous.

"Ils doivent juste être conservateurs." "Je préfère juste que mes hommes soient masculins." "Je ne peux pas être démocrate."

De prétendues jeunes femmes conservatrices font ces déclarations et bien plus encore dans une publicité pour la nouvelle application de rencontres « The Right Stuff », destinée – vous l’aurez deviné – aux célibataires de droite.

« Nous vivons dans un environnement hyperpolitique. Le plus gros problème en matière de rencontres était autrefois la religion, mais nous constatons de plus en plus qu’elle est remplacée par l’affiliation politique", a déclaré le fondateur John McEntee dans un communiqué. "Les deux parties ne sont d’accord sur aucune question majeure, donc il est difficile de voir comment ils pourraient avoir une relation amoureuse.

Mais une application de rencontres exclusive est-elle une bonne idée dans un climat politique déjà divisé ?

Les experts en relations conviennent qu’en matière de rencontres, les valeurs partagées sont un élément important, mais cela ne signifie pas que les rencontres exclusivement au sein de votre parti politique conviennent à tout le monde.

En savoir plus sur « The Right Stuff » : Lancement d’une application de rencontres pour les conservateurs soutenus par les partisans de Trump

Le concept derrière The Right Stuff n’a rien de nouveau

Les applications de rencontres existent pour toutes sortes de groupes – différentes religions, parents célibataires, amoureux des chiens – alors les républicains rencontrent d’autres républicains ? Ce n’est pas une idée révolutionnaire.

"La plupart des gens veulent s’associer avec quelqu’un qui a des valeurs et des systèmes de croyance similaires aux leurs, c’est pourquoi des sites comme OKCupid qui posent de nombreuses questions sur les valeurs/préférences ont attiré certaines personnes à la recherche de partenaires", explique Sheila Addison , spécialiste du mariage et de la famille. thérapeute.

Mais interrompre de nombreux matchs potentiels purement politiques pourrait vous priver de la chance de rencontrer un amour dont vous ignoriez l’existence.

"Il est utile de savoir ce que vous obtenez et d’avoir cet alignement. Cependant, oui, cela peut également limiter les opportunités d’amour ou de connexion en dehors de ces paramètres", explique Lauren Walker , conseillère certifiée au niveau national. "C’est une arme à double tranchant."

De plus: "Le succès d’une relation entre deux personnes et même entre leurs familles et leurs réseaux de soutien social est influencé de manière plus significative par le respect mutuel et une communication ouverte que par le partage constant de la même opinion ou de la même position sur des questions sensibles", explique Virginia Williamson, spécialiste du mariage. et thérapeute familial. "Bien que sortir avec quelqu’un au sein de votre parti politique puisse se prêter à un certain degré de similitude et indiquer des valeurs partagées, il existe d’autres qualités plus propices à la santé à long terme d’une relation qui n’ont rien à voir avec la façon dont deux personnes s’aligner politiquement.

Tout bien considéré, Walker pense que The Right Stuff peut fonctionner pour ceux « qui accordent autant d’importance à la politique et qui la font tellement partie de leur vie ».

L’extrémisme « peut exister n’importe où »

"The Right Stuff" est actuellement accessible uniquement sur invitation et demande des informations de base telles que la taille, les projets pour les enfants et les croyances religieuses. Là où cela s’écarte des applications de rencontres générales : les options de sexe sont masculines ou féminines (elles ne peuvent pas être modifiées ultérieurement), et les invites facultatives à ajouter à votre profil incluent "mensonge libéral préféré" et "le 6 janvier était".

"Le climat de notre pays et de notre monde ces dernières années a été imprégné de peur et de division et le langage utilisé dans la commercialisation de cette application indique clairement à qui elle s’adresse et à qui elle n’est pas destinée", déclare Williamson.

Si cela vous plaît, vous vous intégrerez parfaitement. Si ce n’est pas le cas, la langue utilisée dans l’application peut vous concerner.

"Il semble que nous n’ayons pas besoin de chercher bien loin à l’heure actuelle pour trouver l’extrémisme. Il peut exister n’importe où", déclare Williamson. "Mon espoir en tant que professionnel de la santé mentale et en tant que citoyen privé serait que cette application et toute application soient soigneusement surveillées et réglementées pour empêcher les actions préjudiciables contre autrui et garder la portée de l’application aux rencontres, car tel est son objectif déclaré. "

Gardez également à l’esprit que certains ont le privilège de négliger la politique, alors que de nombreux groupes sous-représentés (comme les personnes LGBTQ et les personnes de couleur) n’en ont pas.

Bonne question : une relation ouverte est-elle faite pour vous ?

Sérieusement : si vous continuez à sortir avec la mauvaise personne, il est temps de vous regarder.

À quoi penser lors de rencontres en ligne

Les gens sont bien plus que leur apparence. L’apparence ne fait pas tout, mais les profils complets ne le sont pas non plus. Allez consulter leurs profils sur les réseaux sociaux pour en savoir un peu plus sur la façon dont ils parlent et pensent en tant qu’individus.

Connaissez vos éléments non négociables. Déterminez vos valeurs et vous déterminerez vos limites.

"De nombreux couples ne sont pas d’accord sur le plan politique ou sur d’autres sujets. Il est essentiel de connaître vos valeurs et d’être clair à leur sujet avant de vous inscrire à une application", déclare Laura Petiford , spécialiste du mariage et de la famille. thérapeute. "Choisissez des sites de rencontres qui vous plaisent et qui correspondent à vos valeurs. Vous êtes le consommateur, alors soyez conscient de vos choix. Ensuite, sortez et rencontrez des personnes."

Oui : La dernière rupture de contrat de rencontres ? Je ne vais pas en thérapie.

Gardez à l’esprit que le monde est plus gris que noir et blanc. "Vous ne savez pas ce que vous ne savez pas, donc si les convictions politiques de quelqu’un diffèrent des vôtres, soyez ouvert à l’idée que les deux positions peuvent être valables et voyez s’il y a plus que vous partagez en commun que ce que vous n’avez pas. " dit Williamson. "Gardez vos limites quant à ce que vous appréciez et s’ils font de même, des croyances différentes peuvent être l’étincelle d’une conversation animée et non le fossé qui sépare deux personnes."

Être flexible. Mais si ça ne marche pas, ne forcez pas. "À moins que je sois capable d’être flexible ou de tolérer cette croyance opposée, alors je n’ai vraiment rien à faire dans cette relation", déclare Walker.

N’oubliez pas que l’amour et la stabilité prennent du temps. "À moins qu’il n’y ait des signaux d’alarme flagrants, des problèmes de sécurité ou tout autre signe évident, essayez de ne pas faire de suppositions ou de conclusions radicales sur l’autre personne", explique Ahrens. "L’attraction est en réalité plus complexe qu’on ne le pense."

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